NATHANAËL est l’auteure d’une trentaine de livres écrits en anglais ou en français, et publiés aux États-Unis, au Québec et en France, N'existe (2017), L'heure limicole (2016), Sotto l'immagine (2014), Sisyphus, Outdone. Theatres of the Catastrophal (2012) ; le cycle de carnets, Carnet de désaccords (2009—finaliste du Prix Spirale), Carnet de délibérations (2011), Carnet de somme (2012) ; et l’essai de correspondance, L’absence au lieu (Claude Cahun et le livre inouvert) (2007), dont le versant auto-traduit se dit, Absence Where As (Claude Cahun and the Unopened Book) (2009). Parmi ses textes traduits, que ce soit en basque, en slovène, en grec ou en espagnol (Mexique), il y a la traduction en bulgare de deux livres (2006), soient L’injure et Je Nathanaël, et la traduction en portugais (Brésil, 2011) également de Je Nathanaël, qui sera suivi par une traduction des trois carnets susmentionnés rassemblés en un seul volume, Cadernos do Meio (à paraître), reprenant le titre du volume anglais, The Middle Notebookes (2015). La récipiendaire du Prix Alain-Grandbois pour ...s’arrête ? Je (Qc., 2008), le Publishing Triangle Award pour The Middle Notebookes (USA, 2015) et le Prix de poésie Claudine de Tencin pour L'heure limicole (Fr., 2016), Nathanaël compte, parmi ses traductions extrinsèques, des ouvrages de Danielle Collobert, Édouard Glissant, Hervé Guibert, Catherine Mavrikakis, Reginald Gibbons, et Hilda Hilst (cette dernière en collaboration avec Rachel Gontijo Araújo). En 2008, Nathanaël a signé un livre de conférences, At Alberta, abordant la traduction. Il est suivi, en 2015, par Aslepias : The Milkweeds. Visiteur distingué à l’Université d’Alberta en 2008, Nathanaël a été reçue en 2011 à l’École Normale Supérieur de Lyon à l’occasion d’une journée d’études transdisciplinaires autour de questions soulevées par son écriture. La récipiendaire d’une Bourse de recherche Chalmers (2002) et d’une bourse de séjour de la British Centre for Literary Translation à la University of East Anglia (2003) ainsi que du Collège international des traducteurs littéraires à Arles (2013), sa traduction du Mausolée des amants par Hervé Guibert a été reconnue par des bourses de la PEN American Center et du Centre National du Livre de France. Sa traduction de Meurtre par Danielle Collobert a été parmi les finalistes d’un Best Translated Book Award (2014).
AUT(EU)RE
NATHANAËL est l’auteure d’une trentaine de livres écrits en anglais ou en français, et publiés aux États-Unis, au Québec et en France, N'existe (2017), L'heure limicole (2016), Sotto l'immagine (2014), Sisyphus, Outdone. Theatres of the Catastrophal (2012) ; le cycle de carnets, Carnet de désaccords (2009—finaliste du Prix Spirale), Carnet de délibérations (2011), Carnet de somme (2012) ; et l’essai de correspondance, L’absence au lieu (Claude Cahun et le livre inouvert) (2007), dont le versant auto-traduit se dit, Absence Where As (Claude Cahun and the Unopened Book) (2009). Parmi ses textes traduits, que ce soit en basque, en slovène, en grec ou en espagnol (Mexique), il y a la traduction en bulgare de deux livres (2006), soient L’injure et Je Nathanaël, et la traduction en portugais (Brésil, 2011) également de Je Nathanaël, qui sera suivi par une traduction des trois carnets susmentionnés rassemblés en un seul volume, Cadernos do Meio (à paraître), reprenant le titre du volume anglais, The Middle Notebookes (2015). La récipiendaire du Prix Alain-Grandbois pour ...s’arrête ? Je (Qc., 2008), le Publishing Triangle Award pour The Middle Notebookes (USA, 2015) et le Prix de poésie Claudine de Tencin pour L'heure limicole (Fr., 2016), Nathanaël compte, parmi ses traductions extrinsèques, des ouvrages de Danielle Collobert, Édouard Glissant, Hervé Guibert, Catherine Mavrikakis, Reginald Gibbons, et Hilda Hilst (cette dernière en collaboration avec Rachel Gontijo Araújo). En 2008, Nathanaël a signé un livre de conférences, At Alberta, abordant la traduction. Il est suivi, en 2015, par Aslepias : The Milkweeds. Visiteur distingué à l’Université d’Alberta en 2008, Nathanaël a été reçue en 2011 à l’École Normale Supérieur de Lyon à l’occasion d’une journée d’études transdisciplinaires autour de questions soulevées par son écriture. La récipiendaire d’une Bourse de recherche Chalmers (2002) et d’une bourse de séjour de la British Centre for Literary Translation à la University of East Anglia (2003) ainsi que du Collège international des traducteurs littéraires à Arles (2013), sa traduction du Mausolée des amants par Hervé Guibert a été reconnue par des bourses de la PEN American Center et du Centre National du Livre de France. Sa traduction de Meurtre par Danielle Collobert a été parmi les finalistes d’un Best Translated Book Award (2014).
Inscription à :
Articles (Atom)